La Commission européenne réfute catégoriquement le contenu de l'article.
Il est basé sur des affirmations totalement fausses et des «sources»
anonymes. Il présente des allégations inacceptables qui n'ont rien à
voir avec la réalité des faits, une histoire personnelle très triste,
qui – par respect pour la victime et sa famille – n'aurait pas dû se
retrouver dans le domaine public.
Le
décès de notre brillante collègue, Directrice au Service juridique,
dont il est question dans l'article, a été un choc pour nous tous, qui
avons eu le privilège et la chance de la connaître et de travailler avec
elle.
La
police belge a mené une enquête et a informé la Direction de la
sécurité de la Commission européenne le 17 décembre à 12h40 (heure de
Bruxelles) qu'il s'agissait d'un suicide survenu dans un cadre privé.
Le
Secrétaire général de la Commission européenne connaissait à peine la
collègue en question. Il ne l'avait rencontrée qu'à deux reprises – dont
une fois au cours d'une plus large réunion. Il n'a eu aucun contact
avec elle au-delà de ces deux réunions; il ne l'a pas non plus appelée.
Les
affirmations et les insinuations faites dans cet article sont
inacceptables, malveillantes et irrespectueuses – en particulier
vis-à-vis de la victime et de sa famille – mais également vis-à-vis de
la Commission européenne en tant qu'institution, à un moment où le
Président et cette institution mènent des négociations très délicates
dans le cadre d'une procédure d'une importance cruciale pour notre
Union.
C'est
la Commission européenne en tant qu'institution qui a pris toutes les
décisions relatives à la nomination de son Secrétaire général. C'est la
Commission européenne en tant qu'institution qui a répondu au Parlement
européen. C'est la Commission européenne en tant qu'institution qui a
répondu au Médiateur européen. Les décisions de la Commission à cet
égard sont toujours préparées en coopération avec tous les services
compétents et non par une seule personne et, elles sont toujours prises
par l'institution et non par une seule personne.
Utiliser une tragédie personnelle de cette manière est tout simplement inhumain et au-delà de l'imaginable...
La suite a lire..
L' article dans le journal Liberation..
No comments:
Post a Comment