Wednesday, March 20, 2019

Réponses de la Commission européenne à l'article publié dans le journal Libération le 15 mars 2019**

La Commission européenne réfute catégoriquement le contenu de l'article. Il est basé sur des affirmations totalement fausses et des «sources» anonymes. Il présente des allégations inacceptables qui n'ont rien à voir avec la réalité des faits, une histoire personnelle très triste, qui – par respect pour la victime et sa famille – n'aurait pas dû se retrouver dans le domaine public.
Le décès de notre brillante collègue, Directrice au Service juridique, dont il est question dans l'article, a été un choc pour nous tous, qui avons eu le privilège et la chance de la connaître et de travailler avec elle.
La police belge a mené une enquête et a informé la Direction de la sécurité de la Commission européenne le 17 décembre à 12h40 (heure de Bruxelles) qu'il s'agissait d'un suicide survenu dans un cadre privé.
Le Secrétaire général de la Commission européenne connaissait à peine la collègue en question. Il ne l'avait rencontrée qu'à deux reprises – dont une fois au cours d'une plus large réunion. Il n'a eu aucun contact avec elle au-delà de ces deux réunions; il ne l'a pas non plus appelée.
Les affirmations et les insinuations faites dans cet article sont inacceptables, malveillantes et irrespectueuses – en particulier vis-à-vis de la victime et de sa famille – mais également vis-à-vis de la Commission européenne en tant qu'institution, à un moment où le Président et cette institution mènent des négociations très délicates dans le cadre d'une procédure d'une importance cruciale pour notre Union.
C'est la Commission européenne en tant qu'institution qui a pris toutes les décisions relatives à la nomination de son Secrétaire général. C'est la Commission européenne en tant qu'institution qui a répondu au Parlement européen. C'est la Commission européenne en tant qu'institution qui a répondu au Médiateur européen. Les décisions de la Commission à cet égard sont toujours préparées en coopération avec tous les services compétents et non par une seule personne et, elles sont toujours prises par l'institution et non par une seule personne.
Utiliser une tragédie personnelle de cette manière est tout simplement inhumain et au-delà de l'imaginable...
La suite a lire..  
L' article dans le journal Liberation..

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