REUTERS/Benoit Tessier
En
ce début de XXIe siècle, le politiquement correct a rejeté le
fascisme et le nazisme dans les limbes du passé. À l’heure de l’internet
tout puissant, ils sont même devenus un simple «point», le «point
Godwin» qui clôt tout débat : dire d’un parti populiste, souverainiste,
anti-musulman, anti-immigré, anti-libéral, anti-capitaliste,
anti-américain (les États-Unis étant l’incarnation du «grand Satan»
pour tous ceux qui haïssent la liberté), qu’il est fasciste ou
simplement évoquer les années 30 pour s’inquiéter de la percée de ces
partis, favorisée par l’impotence des forces démocratiques et
républicaines, c’est s’assurer la risée du «net» et, au-delà, des
bien-pensants. Le fascisme, c’est le XXe siècle, ce sont des
circonstances historiques différentes, il n’a plus sa place dans
l’Europe apaisée et démocratique d’aujourd’hui !
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