Antonio Gramsci : « je suis pessimiste par
l’intelligence, mais optimiste par la volonté ».
« Je ne me fais pas sur l’année qui
pointe trop d’illusions », a lancé vendredi à la presse européenne un
Jean-Claude Juncker particulièrement sombre : « je suis impressionné
par le nombre de fragilités » et par les « ruptures » qui sont
apparues au sein de l’Union au cours de l’année 2015 qui restera celle d’une
« polycrise non maitrisée » : l’Ukraine, la Grèce, les réfugiés,
le terrorisme. « L’Union ne se trouve pas dans un bon état » et
le président de la Commission n’hésite pas évoquer « le début de la fin ».
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