Sunday, April 25, 2010

L' ALLEMAGNE ET LES MARCHEES ONT MITS A GENOUX LA GRECE

''..Angela Merkel a de nouveau tergiversé, exigeant de la Grèce un nouveau «plan d’économies crédible» avant d’activer l’aide européenne. Qui ne sera mis en œuvre que si «la stabilité de l’euro dans son ensemble» est menacée. On comprend mieux, comme l’a souligné très justement Georges Papandréou, que les marchés n’aient «pas cru à la volonté politique de l’UE». Reste que, au final, l’Allemagne qui n’avait aucune envie de payer pour le mauvais élève grec va devoir lui prêter plus de 8 milliards d’euros (sa quote-part dans le plan de sauvetage), au taux très confortable de 5% quand même. Alors qu’une affirmation de solidarité claire et nette aurait suffi à calmer les marchés il y a trois mois. Du grand art dans l’incohérence et la façon de se tirer une balle dans le pied..''  ''Liberation''

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